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    Jake - Fiche de présentation

    Joyce S. Cooper
    Joyce S. Cooper

    Messages : 55
    Date d'inscription : 16/07/2015

    Jake - Fiche de présentation Empty Jake - Fiche de présentation

    Message par Joyce S. Cooper Mer 22 Fév - 22:46

    Histoire :

    Bon. Les histoires et moi, ça fait deux. Déjà, parler d’sa vie, c’est pas franchement ce que je préfère. Après tout, on croise déjà un paquet d’égocentriques dans son existence, alors c’est pas franchement nécessaire, à mon sens, de se mettre à déblatérer sur ce qu’on a vécu. Ou pas. Du coup, si ça dérange personne, messieurs, dames, j’vais aller vite. Du genre, méga vite.

    Papa Prof – Duo gagnant – Pas la joie à l’école – Colonie – Cancer – et j’en passe. Plus court tu meurs. Et comme je me doute qu’il y en a qui vont râler, j’vais essayer d’étoffer un peu, juste pour rentrer dans la bonne case du gars sympa qui obéit aux règles. Pas tout à fait ma tasse de thé en général, mais vu que j’aime bien les admins, j’vais éviter de me les mettre à dos. N’est-ce pas, mes chéries ? Allez, avouez-le, vous êtes déjà folles de moi. Suffit d’un petit clin d’œil, et je suis sûr que plus au sud, ça s’passe plutôt bien.

    /BIM/ Bordel, Will, t’étais obligé de me frapper ? Sois pas jaloux parce que j’drague mieux que toi. Bref, que disions-nous ? Hum. J’imagine qu’un peu de vérité ne ferait de mal à personne. Des détails non plus. Okay, donc voilà :

    Mon père était un prof d’Université. Et il était bon. Okay, c’est difficile à croire parce qu’on a tous connu un professeur qui a bien failli nous dégouter de tous les autres, mais promis, le mien était cool. Il enseignait la Littérature à New-York. Dit comme ça, ça peut paraitre sympa, mais ça l’était pas plus que ça, à dire vrai. Nous vivions dans le Bronx, parce que mon père avait certaines charges à payer et qu’un seul salaire, ça aide pas trop à vivre dignement dans une ville aussi fleurissante que la Grosse Pomme. Dans les films, on nous dépeint toujours une grande agglomération où naissent les rêves d’un paquet de jeunes naïfs aux sourires niais, mais en vérité, c’est pas franchement l’image que j’ai eu de mon enfance. Aucun problème de quartier, faut pas abuser non plus. On avait bien les gangs, mais nous n’étions pas tous obligés d’en rejoindre un dès qu’arrivait nos douze ans. On apprend à se battre, à vouloir se démarquer, et montrer que nous ne sommes ni lâches ni influençables, mais ça ne veut pas dire que nous étions des petites frappes, prêts à vendre père et mère pour s’en sortir. Au contraire. Dans mon quartier, les jeunes possédaient une conscience aigüe du sens de la famille. Et je crois que c’est ce qui a plu à mon père, ce qui l’a fait rester si longtemps. L’école du coin était loin d’être la meilleure à ses yeux, mais mes amis d’enfance s’y rendaient et bon, faut reconnaitre que pour faire les devoirs, un père prof, c’est autant la classe que la galère. Sans compter qu’avec mes foutus problèmes de demi-dieux, l’école, c’était clairement pas la joie. Alors tant mieux qu’elle ne soit pas d’un niveau trop élevé, parce qu’à tout bien considéré, ça m’aurait sûrement causé plus d’ennuis d’aller ailleurs.

    Ah, j’vous ai pas dit ? Je suis un demi-dieu. Rien de bien folichon, on casse du monstre, on joue à l’épée, et parfois même, on développe des pouvoirs. Le truc quand j’étais gosse, c’est que tout ça, je n’en savais rien. J’avais eu beau demander à mon père des renseignements sur ma mère, il me demandait toujours d’attendre encore un peu, que j’étais trop jeune encore pour comprendre. Oui, ça me saoulait, mais Jack était un homme de parole et suffisamment intelligent pour savoir ce qu’il faisait. Sauf le jour où il me donna mon prénom évidemment. Parce que dans la case « nom de l’enfant », il avait mis le sien. Et heureusement pour ma pomme, l’autre débile de l’accueil a enregistré Jake au lieu de Jack. Sérieux, deux Jack dans une famille de deux personnes, ça aurait réellement fait con. Mais mon père était comme ça. Savant et pas toujours très éveillé dans sa tête. Encore heureux qu’il ait son fils préféré pour l’aider dans sa super vie de Prof de Fac, hé hé. Donc un jour, j’ai découvert un dossier dans ses affaires. Assez épais et suffisamment poussiéreux pour attirer mon attention. Il ne portait qu’un mot : Iris. Dans mes maigres connaissances de gosse de onze ans, les iris, ce sont des jolies fleurs dont la forme est encore un peu floue. Comme mon père n’était pas fleuriste – ni le dimanche, ni jamais – je me demandais ce qu’il fabriquait avec ça. Et en feuilletant, je découvris des légendes, des résumés, des images et tout ce qui avait un rapport de près ou de loin avec la déesse Iris. Woh, que mon paternel soit un fan d’une déesse, ça m’avait un peu cassé les pattes, mais alors son regard qui s’écarquille quand il entre dans la chambre et me voit avec toutes ces feuilles étalées sur le lit, ça m’avait mis la puce à l’oreille. Ce fut donc ainsi que j’appris mon super ascendant divin. Mamounette quoi. Roooh, grimacez pas, j’en vois dans le fond qui rougissent. Preuve que je ne suis pas le seul à l’utiliser celle-là.

    Apprendre que ta madré est une déesse, ça a quelque chose de complètement cinglé. Et de génial aussi. Mon père m’expliqua tout ce qu’il savait et je bus chacune de ses paroles, tout en me demandant un peu si sa tête n’était pas entrée en contact avec le placard de la cuisine, un peu trop souvent. En tout cas, il avait l'air crédible, et j’voyais pas trop pourquoi je pourrais dénigrer ses paroles. Bon, du coup, j’étais grave curieux. Et lorsqu’un jour, l’eau de l’évier se mit à briller légèrement pour laisser se refléter le visage d’une femme dessus, j’étais complètement stupéfait. Papa qui passait par là avait carrément freiner des deux pieds. Après un rapide « voici ta maman » qui avait engagé la conversation – on vous l’a jamais fait le coup du cam to cam version évier, hein ? – j’avais fini par apprendre l’existence de la colonie. Ah, et au passage, elle m’avait pas mal rassuré sur mes problèmes de compréhension de langue à l’école. Apparemment, mon cerveau était programmé pour les deux, et en clair, ça faisait brouillage. En clair… Ou pas. Bref. Du coup, j’voulais aller à la colo, ce que mon père compris et m’autorisa à faire. Au mois de mars, j’allais avoir douze ans, donc il lui semblait que j’étais assez mature pour passer les deux mois d’été à la colonie. Et le fait qu’elle se trouve dans le même état le rassurait beaucoup. Et c’est ainsi que j’ai passé mes années d’adolescence. L’été là-bas et le reste de l’année en mode normal, petit humain sympathique, un peu roublard mais pas méchant. J’aime m’amuser, c’est pas ma faute. Et faut avouer que c’était l’âge principalement, parce qu’aujourd’hui, je suis devenu bien plus mature que l’était ce sale môme, c’est-à-dire moi.

    J’ai pris du galon, m’entrainant pas mal, rigolant beaucoup. Willy m’aidait pas à tenir le sérieux, faut dire. Ce gars, c’est un peu comme une teigne. En plus doux. La peau plus douce hein, sinon il y a rien de doux. Même quand il chante. Et surtout, le laisser pas chanter une fois bourré, parce que vous n’êtes pas sur de récupérer vos oreilles intactes. Mais bon, il a toujours été là dans les pires comme dans les meilleures moments, alors je peux dire sans mentir que c’est un pote à la vie à la mort. Yep, versons tous une petite larmichette. Par exemple, lorsque mon père m’annonça son cancer pour mes dix-neuf ans, Willy était là à me soutenir. J’voyais pas trop à qui le dire d’autre en même temps. Certainement pas à la conquête du moment. J’ai jamais eu de relations vraiment sérieuses de toute façon, j’attends la bonne, que voulez-vous. Et si elle pouvait se pointer plus vite celle-là… Tsss. Donc ? Ouais, le padré allait mal. J’ai quitté mes études d’Histoire – comment ça, c’est rasoir ? – pour m’occuper de lui. Fallait trouver un boulot pour payer les frais d’hôpitaux, alors j’enchainais les jobs. Et c’était cool. J’avais aucun regret sur mes études finalement. Quand papa me sourit pour la dernière fois, je venais d’avoir vingt-et-un ans. J’avais beau y être préparé, ça me foutu toujours un coup quand même. A la colo, j’y allais trois mois par an au lieu de deux, mais je ne pouvais pas m’engager pour plus longtemps. Pas alors que mon père était malade. Willy pensait que les choses allaient changer maintenant qu’il était parti, mais je ne me voyais pas vivre à la colonie en permanent. Du coup, je vendis l’appartement du Bronx, et en louait un dans un quartier plus sympa. C’était petit, mais l’avantage, c’est que ça se trouvait juste au-dessus d’un débarras à louer également. Ce que je fis, pour développer un café librairie, histoire d’honorer un peu la mémoire de mon père. Il y a toujours un peu de monde en bas, et j’aime cette ambiance, mélangeant tous les genres, toutes les castes.

    Pour vous parler un peu du monde mythologique – ouais parce qu’un minimum, c’est cool aussi – j’ai participé à la bataille contre Cronos, y gagnant une super cicatrice de la mort qui tue dans le dos. Bon, on s’en balance un peu et les filles qui passent dans mon lit trouvent ça virile, mais ça me permet surtout de ne pas oublier que je ne suis pas simplement un humain. Iris m’a offert au moins ça. Que mon odeur ne soit pas trop développée et que les monstres ne me cherchent pas trop querelle. Pas plus mal. Et puis, au moins chez moi, il y aura toujours une porte ouverte à n’importe quel demi-dieu se trouvant dans la merde. Pour ce qui est de Gaïa, je ne peux pas dire que je participais des masses, étant plus souvent à New-York à monter mon affaire. Cela ne fait que deux ans qu’elle a ouvert après tout, et j’en suis suffisamment fier pour y passer pas mal de temps. Des livres pour un demi-dieu, qui l’aurait cru, n’est-ce pas ? Certainement pas les pensionnaires de la colonie en tout cas, parce que le seul qui est au courant, ça reste Willy. J’préfère que l’on me voie comme le joyeux luron un peu taquin et charmeur, que comme le mec qui s’est réellement investi sur son projet, après avoir suivi les soins de son père pendant plus d’un an. Ouaip, à croire que j’en ai quand même dans le ciboulot. Etonnant, non ?

    Profil :

    Nom • Andrews Prénom(s) • Jake & Thomas Surnoms • Aucun aveu. Date de naissance • 12 Mars 1986 Âge • 24 ansi Lieu de naissance • New-York Origine • Américaine Années passé dans votre camp • 12 ans Statut social • Célibataire Orientation sexuelle • Hétéro Avatar • Will Higgison Crédit • Bonne question

    Élément • Air Parent divin • Iris Pouvoir • Télé Localisation Arme et objet magique (une arme et un objet ou deux armes et pas d'objet) • Une épée en Bronze Céleste qui peut prendre différente taille et se ranger comme un petit jouet dans sa poche (Hey, c'est classe, un porte clef en mini épée ) et l'autre... Euh... Une clef qui ouvre toutes les portes Cool Camp choisi • Grecs Rêve d'avenir • La paix ? Ah. Ah.

    Caractère :

    Souriant + Drôle + Déterminée + Charmeur + Courageux + Malin + Débrouillard + Joyeux Luron + Faux Glandeur + Téméraire + Ironique + Fonceur mais seulement quand il veut + Tête de mule parfois provocateur

      La date/heure actuelle est Dim 28 Avr - 12:56